L. Alecksander Ackërmannyoung and beautiful“what kind of heart doesn't look back ❤
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célébrité : Jamie Sexy Dornan
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 |  Sujet: LOGAN → Peut-être que « Okay » sera notre « Pour toujours » Dim 30 Nov - 15:27 | |
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Trop souvent, ce qu’on désire le plus au monde, est justement ce que l’on ne peut pas avoir. Le désir parfois, peut vous briser le cœur, vous anéantir. Le désir peut faire de votre vie en enfer. C’est dur de vouloir quelque chose qu’on ne peut pas avoir. Mais ceux qui souffrent le plus, sont ceux qui ne savent pas ce qu’ils veulent. crédits img @source ▷ Jamie Sexy Dornan
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◗ prénom : Logàn Alecksander . ◗ nom de famille : Ackermann. ◗ surnom : Lo' ou Alec'. ◗ âge : 33 Ans. ◗ date et lieu de naissance : 25 Décembre 1981 à Sidney. ◗ nationalité et origines : Australo-américain ◗ activité professionnelle : Professeur de Sciences en université ◗ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. ◗ statut civil : Marié. ◗ groupe : A walk to remember. Franc - Honnête - Sur de lui - Charmeur - Simple - Bout en train - Bordélique sur les bords - Borné
Est né prématuré à 34 semaines et est resté sous respirateur couveuse avec assistance respiratoire pendant un mois avant de pouvoir en sortir et rejoindre les bras de sa maman ▲A toujours été couvé par sa mère, depuis sa naissance du fait de sa prématurité, jusqu'à ce qu'il ne décide de grimper dans un arbre pour prouver à sa mère qu'il n'était plus un bébé et qu'il ne chute en tombant d'une branche, en se cassant le pied. ▲ Est le fils unique de la famille et a toujours été gâté par son grand-père paternel ▲ Adore les plats épicés ▲A fait du football pendant 3 ans juste pour faire plaisir à son père, mais il a toujours préféré le Basketball ▲ Est passionné de sciences depuis qu'il est gamin. Cette passion, il la tire de son père, chercheur dans la recherche pour le cancer et qui lui a offert son tout premier livre de sciences ▲Se craque les doigts lorsqu'il est nerveux ▲ Est bordélique depuis qu'il est ado ▲ Perd bien souvent ses clés dans son bordel organisé ▲ Est tombé amoureux d'une femme plus âgée, ce qui n'était pas du goût de ses parents. Ils sont ensemble depuis 6ans et demi et ont fêté leur 6 ans de mariage en Septembre ▲ Aimerait avoir un enfant mais se contente d'être beau père, préférant ne pas risquer d'avoir un enfant avec sa femme, en particuliers à l'heure actuelle ▲ N'a eu que 3 relations sérieuses stables de plus d'un an ▲A la manie de passer sa main dans ses cheveux lorsqu'il est charmé ou dès qu'ils deviennent un peu trop long▲ Maitrise assez bien la cuisine du monde entier ▲ Ne quitte jamais sa barbe de trois jours. Sans cette dernière il se sent trop jeune et pas assez viril ▲ A eu une aventure avec sa belle fille, pendant quelques mois, mais y a mis fin pour ne pas mettre son mariage en péril. Aujourd'hui il n'est plus sur de ses sentiments ▲Est misophone (Déteste les bruits répétitifs) et ne peut demeurer dans une pièce lorsque seul le cliquetis de l'horloge brise le silence. ▲ A toujours eu peur des oiseaux ▲A failli perdre la vie lors d'un accident de voiture duquel il est sorti atteint d'une commotion cérébrale été après trois jours de coma ▲ Est allergique au pollen ainsi qu'aux piqures d'insectes
▷ Que représente pour toi cette petite ville qu'est Southport ? Southport est une ville où je me sens bien. Ni trop grande, ni trop petite, elle possède tout ce qu'il faut pour y vivre sa vie pleinement. Je suis arrivée aux Etats-Unis à l'âge de 5 ans, autant dire que la différence avec l'Australie natale est plutôt flagrance, mais je me suis rapidement habituée aux US et à New-York où je vivais. Seul bémol ? Le taux de criminalité de l'époque et les rues insécurisées. La grosse pomme a fini par me paraitre trop grande. Ou était-ce juste l'emploi qu'on m'avait proposé à Southport sitôt mon diplôme en main ? Je ne sais pas trop. En tout cas, cette ville me plait aujourd'hui. Et puis au fond, que je le veuille ou non, je ne suis plus seul. Même si la femme qui hante mes pensées n'est pas forcément la bonne. ▷ Comment les habitants te perçoivent-ils ? Southport est une ville plutôt moyenne en taille. Chaque nouvel habitant est grillé dès son arrivée. Certains sont curieux d'autres plus respectueux. Certains accueillants d'autres moins. Mais on s'intègre assez vite dans cette petite ville. Au fond, les habitants de Southport sont comme les autres, comme dans toute ville. L'avantage ici, c'est qu'on peut tous s'entre aider. C'est beaucoup plus convivial. En tout cas, il y'avait bien une femme qui m'avait vite adoptée .. Et ça fait maintenant huit ans que ça dure. Mais vous dire si ça va encore durer, ça je ne peux rien promettre... A première vue, je suis plutôt proche des hommes du voisinage avec qui je passe pas mal de temps à courir ou à faire un autre sport. Sinon, je suis plutôt perçu comme discret mais toujours prêt à filer un coup de main, ce qui m'attire d'ailleurs les foudres de Madame. Je rends d'ailleurs pas mal de service à mes voisins dont le mari est en chaise roulante suite à une chute d'un échafaudage. Passant devant l'école des enfants, j'ai l'habitude de les y déposer au matin en partant à l'université. Autant aider tant qu'on le peut. ▷ Où te vois-tu dans 5 ans ? Dans cinq ans ? Je ne suis même pas foutu de dire si oui ou non j'ai encore des sentiments pour ma femme, alors vous dire ou je serai dans cinq ans, tout dépendra de l'état de mon couple. Si nous sommes séparés, je serai probablement mort, tué par mon ex femme, et si par chance nous sommes encore ensemble, je serai probablement au fond de mon sofa, à pinter de la bière comme la majorité des américains en Burn-Out ou dépression font après leur journée ou juste pour la débuter. On ne sait pas de quoi la vie est faite, alors peut)être que je parviendrai à prendre une décision qui changera ma vie, ou la ruinera.
what kind of hearts doesn't look back.La vie n'a rien de facile ou d'agréable. Sans doute les meilleurs moments prennent ils le pas sur les mauvais, mais dans le fond, est-ce possible d'oublier les douleurs que nous inflige la terrible réalité ? Bien des choses peuvent avoir raison de notre bonne humeur. La maladie, la mort, le chagrin d'amour. La jeune Ana l'avait appris à ses dépens. Victime d'une maladie touchant l'organe qui la différenciait des hommes, la jeune femme venait à peine d'apprendre qu'elle ne pourrait peut-être jamais avoir d'enfant. Un rêve détruit, brisé en quelques minutes. La jeune femme avait toujours rêvé d'offrir à son compagnon le plus beau des cadeaux qu'une femme puisse offrir. Le destin avait décidé du contraire. Le déni, la colère, la négociation, l'acceptation. Quatre étapes qui prirent une place considérable dans la vie de la jeune femme. Sur les six mois qui s'étaient écoulés depuis l'annonce du diagnostic, la jeune femme s'était persuadée que son médecin s'était trompé de personne avant de s'en vouloir à elle-même, de penser que peut-être son amour suffira à combler de bonheur son compagnon et enfin, accepter la réalité. Alors même qu'elle pensait sa vie détruite, la jeune femme reçus la plus belle des nouvelles.. Après des années d'attentes et d'essais infructueux, des mois de pleurs et de douleurs, la jeune femme compris que dans la vie, la déception pouvait parfois laisser place au plus beau des sentiments, l'amour d'une mère. Ravie d'apprendre qu'elle était enceinte malgré les avertissements des médecins sur la prudence à adopter, la jeune femme se sentait revivre. Quelques semaines seulement après la découverte de sa grossesse, les deux jeunes parents s'étaient investi corps et âme dans la réalisation d'une chambre d'enfant sans même avoir la certitude qu'un jour, leur bébé dormirait dans ces draps blancs. L'espérance et l'amour font bien des choses dans le fond. Après 34semaines de grossesse comblés d'incertitude, le petit Logàn Aleckander Ackermann fut enfin dans les bras de ses parents. Ana et Aaron avaient finalement réussi à obtenir ce qu'ils avaient de plus cher. Un enfant, le seul qui leur étai accordé. Né avec six semaines d'avance, le petit Logan était prématuré suite à une rupture prématurée de la poche des eaux. Installé sous couveuse, le petit garçon eu un début de vie compliqué mais s'en était rapidement sorti. Tout petit, Logàn s'était découvert une passion pour les sciences grâce à son père qui n'avait de cesse de lui transmettre son savoir, lui aussi hérité de son père, comme si les connaissances se transmettait de génération en génération. Couvé par sa mère depuis sa naissance, suite à sa prématurité et à la fragilité dont il avait fait preuve tout petit, Logàn ne pouvait profiter de la vie comme les autres enfants de son âge le faisaient en faisant du vélo ou de l'escalade. Las d'être mis dans de l'ouate, le petit garçon eu rapidement fait de se débarrasser de cette mauvaise habitude entretenue par sa mère depuis son plus jeune âge. Âgé de six ans, Logàn avait bravé le danger pour grimper dans le Cerisier de son grand-père sous le regard effrayé de sa mère qui l'avait vu de la cuisine et n'osait approcher de peur qu'il ne glisse encore plus rapidement. Fier de cet exploit, le petit garçon agitait vigoureusement la main jusqu'à ce que la branche sur laquelle il reposait ne cède et ne fasse une chute de trois mètre qui lui brisait les métatarsiens.
Cette fracture n'eu en aucun cas raison du téméraire petit garçon dont la maman était enfin parvenue à couver beaucoup moins. Grimpeur, cascadeur au regard malicieux et au sourire qui en disait déjà long sur son charme, le petit gars faisait déjà tourner la tête de toutes celles qui se mettaient sur son chemin. Ses parents l'avaient éduqué dans le respect des normes et des traditions. Ils lui avaient inculqué des valeurs morales et familiales qui la guidaient déjà sur les traces de son père. La famille Ackermann étaient loin de manquer d'argent, mais elle était néanmoins reconnue pour l'éducation de leur fils et l'acharnement qu'ils avaient chaque jour pour le rendre heureux. Ils ne voulaient pas d'un enfant gâté qui n'avait qu'à faire les yeux doux où se jeter à terre pour obtenir le jouet de ses rêves et cela, Logànl'avait très rapidement compris. Ses premières années scolaires prouvèrent rapidement que les efforts d'Ana et Aaron avaient finalement payés, leur fils était un jeune homme très intelligent et doué dans tous les domaines possibles. Ambitieux depuis son plus jeune âge tout comme passionné par les sciences, le jeune homme trouva rapidement son chemin et en conclus rapidement que les sciences étaient sans aucun doute ce qu'il ferait de sa vie d'adulte, pourtant âgé d'onze ans. Les quelques années qui suivirent ne firent que confirmer son choix. Toujours plongé dans ses bouquins de sciences pour ados, Logàn en tirait tout son savoir, sa culture générale et excellait dans ses notes scolaire. Bien que différent des ados de son âges moins attachés aux cours, Logàn appréciait aussi de passer du temps avec ses amis. Sociable, il faisait d'ailleurs partie de l'équipe de basket, rejoint après avoir passé trois ans à faire un sport qu'il n'avait jamais apprécié et qu'il n'avait suivit que pour ne pas décevoir son père, fervent amateur de football. Populaire et apprécié par la gente féminine, Logàn restait néanmoins un adolescent comme les autres, allant de filles en filles, de déceptions en déceptions sans réellement parvenir à trouver la bonne. Le sport, Logan y avait été initié par son père qui outre le foot, était un fervent amateur de course à pied. En compagnie de ce dernier, le jeune homme parcouru son premier concours à treize ans avant d'enchainer chaque années les marathons. Le jeune homme avait déjà visité pas mal de grandes villes grâces à ces courses. Néanmoins il ne s'arrêtait pas à ce sport. Natation, Tennis, Badminton, Vélo. Tout lui faisait plaisir et lui permettait de décompresser comme de s'aérer et permettre une bonne oxygénation de ses organes et donc une meilleure endurance aussi bien dans ses cours que dans le sport. Son initiation au sport était un bon point dans les études qu'il s'apprêtait à commencer. Né en Australie, de parents Franco-Américain et Australienne, le jeune homme avait peu connu L'Australie, n'étant resté que 6 ans de sa vie avant d'emménager aux Etats-Unis. Même si il ne se souvient que de bribes de souvenirs, Logàn a toujours désiré retourner en Australie le temps d'un voyage. C'est d'ailleurs ce qu'il réalisa, lors de son voyage de noces. Marié à l'âge de 27 ans, à une jeune femme plus âgée que lui, rencontrée deux ans auparavant, l'Australie avait été LA destination de rêve pour effectuer leur voyage de noces. Devenu beau-père de trois filles et d'un garçon de 21 à 16 ans, les ados ne se sont jamais plaint de leur beau-père, ce dernier étant relativement présent pour chacun d'entre eux voir parfois trop laxiste. A vrai dire, il s'imaginait élever un enfant de la naissance jusqu'à l'âge adulte mais pas arriver comme un cheveux dans la soupe en plein dans la crise d'ados des trois filles... Si pour certaines son arrivée était plus un élément perturbateur, pour le seul garçon de la fratrie, c'était plutôt une bénédiction. Enfin un mec avec qui se défouler. Finalement intégré à la famille, il se montrait présent dès que les enfants en avaient besoin, les prenant plus pour ses soeurs et son frère que pour ses beaux-enfants.
Logàn était certain que ce mariage fonctionnerait. Mais il n'avait pas pris compte du facteur âge qui peu à peu le séparait de son épouse, de plusieurs années son ainée. S'il voulait devenir père à son tour, ce n'était visiblement pas avec elle qu'il le serait, c'était bien trop risqué et au fond leur histoire ne durerait pas éternellement, et pourtant il ne parvenait pas à la quitter de crainte de briser définitivement son coeur. A la réflexion, son épouse n'avait jamais correspondu à son genre de femme. Il recherchait plutôt une femme qui n'hésiterait pas à lui tenir tête, tout en restant la douceur incarnée. Le genre de Maxyne... Cette fille était à la fois douce et gracieuse et pouvait en une fraction de seconde se renfrogner d'un coup, ce qui lui donnait cet air inaccessible et terriblement sexy. Logàn l'avait toujours trouvée jolie. Des trois filles, Maxxie lui correspondait le mieux, mais elle restait sa belle fille. La belle-fille la plus inaccessible du monde. Et pourtant.. Seuls a peine quelques minutes, il avait suffit d'un seul baiser volé pour la faire craquer. Il lui avait fallu quelques jours pour réaliser qu'il l'avait embrassée, mais elle était revenue à lui, et ils ne s'étaient plus quittés. Réunions, copies à corriger, examens à préparer, coup de mains à donner, formations prolongées, toutes les excuses étaient bonnes pour retrouver Maxxie et passer un moment seul avec elle. Mais après un an, leur rendez vous s'espaçaient. Il l'aimait clairement, il n'y avait aucun doute, mais il était marié à sa mère. Cette infidélité, Logàn la supportait difficilement, au point de remettre son mariage en question. Mais il fallait d'abord rompre avec Maxxie, même si au fond, il ne le voulait pas le moins du monde. Si sa mère était trop vieille pour lui, lui restait trop vieux pour Maxxie et ruiner sa vie, il ne se le pardonnerait jamais. Il savait qu'il lui briserait le coeur ce soir là. Mais il préférait de loin lui briser le coeur et lui permettre de retrouver quelqu'un d'autre, plutôt que de lui briser le coeur des années plus tard, rompre tout lien familial avec ses soeurs, son frère et sa mère, et la laisser désespérément seule à mourir. Il avait fait ce choix pour elle, mais elle ne pouvait pas le comprendre. Un an s'était écoulé depuis leur rupture, mais ses sentiments étaient toujours intacts pour la jeune femme, de plus en plus séduisante. Il s'en voulait au fond, et jalousait le moindre garçon l'approchant de trop prêt, mais il ne pouvait rien dire. En guise de torture, il n'y avait pas mieux, pour le coup elle avait sa vengeance... Une année de séparation marquée par des turbulences dans son mariage. Devenu distant avec son épouse, Logàn s'efforçait de ne pas la faire souffrir, mai c'était peine perdue. Ses larmes lui fendaient le coeur à chacune de leur dispute et si au fond, il l'aimait encore un peu, il savait que leur histoire était vouée à l'échec depuis le début. Après une tentative de thérapie de couple infructueuse, Logàn avait finalement prit sa décision. Il devait partir. Pour le bien de toute la famille, et pour ne pas entacher l'image que cette femme qu'il avait épousée garderait de lui. Lettre posée sur sa table de nuit, il n'était pas rentré. D'abord une nuit, puis deux, puis trois, et toutes les suivantes. Ses pensées ? Maxyne. Son parfum hantait encore son esprit.
Dernière édition par L. Alecksander Ackërmann le Lun 1 Déc - 8:56, édité 12 fois |
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