Maxim C. Davidsyoung and beautiful“what kind of heart doesn't look back ❤ messages : 178 points : 1009 célébrité : Ian Somerhalder crédits : (c) Angie + tumblr
| Sujet: (Maxim) The map that leads to you Ain't nothing I can do Jeu 11 Sep - 12:32 | |
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À force de se fourrer dans les ennuis, la menace de nouveaux ennuis à venir finit par ne plus représenter de menace. Il arrive un moment où l'on s'est enfoncé si loin dans la rivière des emmerdements qu'on n'a plus d'autre choix que de continuer à patauger en espérant réussir à gagner la berge opposée. Telle était la philosophie de Link, et je commençais à en saisir tout le génie. Au bout du compte, on ne se connaît peut-être soi-même qu'après s'être mis dans le ban jusqu'au cou. tumblr ▷ November. ✰✰✰ “Maxim Chance Davids
◗ prénom : Maxim Chance ◗ nom de famille : Davids. ◗ surnom : Max. ◗ âge : 31 ans ◗ date et lieu de naissance : 4 juillet 1983 à Southport. ◗ nationalité et origines : américain. ◗ activité professionnelle : barman & propriétaire de son propre bar ◗ orientation sexuelle : hétéro ◗ statut civil : célibataire ◗ groupe : A WALK TO REMEMBER. bosseur acharné + rancunier + un brin jaloux + a un cœur en or, généreux + a la fâcheuse manie de se mettre en colère facilement + loyal + impulsif + taquin + fidèle + peut-être de temps à autre bordélique
▷ Que représente pour toi cette petite ville qu'est Southport ? Southport, c'est la vie où je suis né, où j'ai grandi, où j'ai connu les bons comme les pires moments. C'est une ville que l'on ne peut pas quitter, malgré tout. Parce que si on pense à chacun des moments, oui, il y en a bien trop de mauvais, mais c'est partout pareil. Alors autant rester ici, dans cette ville où l'on a tout, l'eau, la terre.... C'est la vie, c'est ma vie, au point que je ne me verrai nulle part ailleurs, même si on me promettait que tout serait parfait. ▷ Comment les habitants te perçoivent-ils ? étant le propriétaire du bar, je suppose que j'ai la réputation de l'homme étrange, qui n'a pas envie de se caser. seulement, je pense que mon caractère serviable. Après, je ne suis pas le propriétaire d'un endroit malfamé, c'est un endroit convivial et tout le monde y vient avec plaisir. La bonne humeur y règne, et je pourrais dire même que je suis celui qui vient apporter les tasses chaudes, et les autres boissons, en musique et même avec un billard à leur disposition. mais je pense que pour beaucoup, je suis le solitaire, qui a mal vécu la mort de sa mère, et qui essaie tant bien que mal de lutter contre la drogue et ses méfaits... ▷ Où te vois-tu dans 5 ans ? Dans cinq ans ? c'est loin et pourtant, bien des idées pourraient apparaitre. bon bien sur, je me vois toujours dans mon bar, dans lequel j'aurais apporté des modifications afin de le rendre plus accessible à tout le monde, un moyen d'attirer un peu toute la clientèle. ça, c'est pour le coté professionnel. Parce que pour le coté personnel, honnêtement, je ne me vois pas casé, deux enfants dans les bras avec la femme parfaite. Non, je me vois bien par contre toujours aussi libre ou alors épris d'une demoiselle à fort caractère, sans qu'on ne se promette monts et merveilles, juste profiter de l'instant présent. bateau? peut-être mais mieux vaut ceci que de se faire des illusions et tomber de bien haut par la suite...
what kind of hearts doesn't look back. « Maxim Chance Davids, viens ici, je te prie. ». C’était exactement le même refrain depuis des années, au point qu’à présent, le jeune homme âgé de 16 ans, ne se retourna même pas, attitude qui eut le don de provoquer un nouveau cri « Bon sang, mais qu’est ce que tu veux à la fin ? Repartir en foyer ?». Cette fois-ci, il s’était retourné, regardant sa mère ou du moins celle qui lui avait donné la vie mais qui avait été trop occupée à sniffer des rails de coke qu’à véritablement donner une réelle éducation à son fils. Jusqu’à aujourd’hui, il n’avait jamais répliqué mais là, c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. D’un pas décidé, il s’était avancé vers elle où il fit sortir toute la colère engendrée durant ces longues années. « Déjà, je ne suis pas en foyer. Je suis chez ma tante, tu sais ta sœur. Mais tu dois l’avoir oubliée, comme tu m’as oublié ce fameux soir quand tu t’étais défoncée, me laissant seul à la maison, sans rien à manger. Si tu crois pouvoir me blesser, Ma-man ». Il avait articulé chaque syllabe avant de poursuivre « dis ce que tu veux, je m’en contrebalance. Pour moi, tu n’es plus rien, et je n’ai aucun compte à te rendre. Si tu veux tout savoir, j’espère qu’un jour tu t’en sortiras, sincèrement. Tu te détruis, tu nous détruis, mais moi je veux m’en sortir, aussi égoïste puis je paraitre. Alors tu as deux options : soit tu arrêtes pour ta famille, soit tu continues et dans ce cas là, je serai définitivement fixé ». certes, Maxim s’était montré relativement dur, presque insensible mais c’était sa mère, et il gardait un infime espoir de la retrouver. Baissant les yeux, il avait fini par se reculer et par partir après avoir pris son sac d’affaires. Il n’y avait que cela à faire. Le brun n’avait pas réfléchi, partant chez celle qui le connaissait très bien. Cependant, arrivé après 15 minutes de marche, la porte de sa tante s’était ouverte à la volée. « Monte dans la voiture. On part à l’hopital, ta mère a eu un accident ». Les larmes apparurent et se mirent à couler sur ses joues. La culpabilité était également au rendez-vous. Avait-elle fait une bêtise de par les mots qu’il avait prononcés si durement ? de nombreuses questions se bousculaient à l’esprit de l’adolescent, et une fois sur place, les réponses furent apportées. « Une voiture l’a percutée. Elle avait une brochure pour un centre de désintoxication, ce qui me fait penser que c’est une junkie qui voulait s’en sortir. Seulement son pronostique vital est engagé, en raison de la violence du choc. ». Maxim avait cru que le ciel lui tombait sur la tête, et sa tante ne put que le retenir, alors qu’il était partagé entre l’envie de quitter cet endroit, et celle de se laisser glisser au sol et de s’enfermer dans une bulle où tous ses rêves de gamin devenaient réalité, à savoir une famille heureuse et où cette cochonnerie de drogue ne ferait pas son apparition. Cependant, ce n’était pas possible, et alors qu’il espérait que ce soit pas trop tard, la vie avait repris ses droits et c’était à cet instant précis qu’une sonnerie se fit entendre, celle qui signifiait l’arrêt du cœur d’une femme, la fin de la vie d’une mère qui n’avait pas été préservée, et qui rejoignait à coup sûr un monde plus serein et beaucoup moins manipulateur. C’était ce qui resterait à jamais gravé dans la mémoire de ce brun aux yeux bleus : la dureté de ses derniers mots envers sa mère, une vie beaucoup trop injuste qui empêchait la réunion d’une famille, la non réalisation d’un miracle qui avait été à deux doigts de se produire… « Maxim, qu’est ce que tu fais ? ». C’était évident et pourtant, il venait de terminer le lycée et se refusait bel et bien de continuer des études bien trop onéreuses pour sa tante, ainsi que pour un père qui se contentait d’envoyer quelques billets de temps à autre, lorsqu’il arrivait à se rappeler la présence de cet enfant qu’il avait à peine élevé. « tu le sais bien. Cela fait des mois que je travaille là-bas, et j’y suis bien, au point qu’on me propose d’être co-gérant, si ce n’est pas une bonne nouvelle ça ? » . Etant donné le regard de celle qui le connaissait plus que bien, il avait compris qu’elle n’allait pas sauter au plafond, surtout qu’il fallait bien avouer que Maxim allait devoir sortir les muscles et devoir réaliser des travaux afin de rendre tout son panache à cet endroit, qui commençait à subir les dommages du temps. D’ailleurs, il était fermé pour quelques temps, pour les travaux. Et c’était sur sa moto que le brun était parti et avait relevé ses manches afin que tout se déroule à la perfection. Mais les heures allaient être nombreuses, plus que ce qu’il ne l’avait envisagé, et étant seul pour tout ceci, il allait devoir faire des sacrifices, il n’y avait aucun doute là-dessus. En train de clouer une planche, un visage angélique était apparu par un pur miracle, et c’étaient ses yeux qui l’avaient sondé et laissé sans voix. Cela faisait un moment déjà qu’il n’avait pas eu de relation, du moins sérieuse. Mais à 20 ans, combien de personnes pouvaient affirmer avoir rencontré le grand amour et cette envie de franchir le coup du mariage et de la suite ? « je peux vous aider ? » . Il se sentait un peu mal, comme perdu, et un sourire de la demoiselle. « je passais. Non en fait, je connaissais l’endroit et je me demandais ce qu’il se passait. Ah et je suis Catalina. » Un sourire charmeur de la part de la brunette, et il avait expressément répondu « enchanté. Maxim. » . Et voilà que tous les deux avaient commencé à apprendre à se connaitre, à passer de plus en plus de temps ensemble, un petit couple avait vu le jour … « ça veut dire quoi, ça Catalina ? » demanda Maxim à sa petite amie, en lui présentant son téléphone et en attrapant les billets qui dépassaient de son pantalon. Les questions étaient nombreuses, et il savait déjà à quoi se résoudre, mais il avait besoin de l’enendre de sa bouche. « Arrête Maxim. Ne me fais pas la leçon, je t’en prie. C’est comme ça, j’ai plongé, j’ai besoin de fric et c’est une solution comme une autre… ». Il croyait rêver, ce n’était pas possible. « C’était donc ça, le fait de rester avec moi ? de pouvoir piquer dans la caisse ou de rencontrer des mecs dans mon bar ? Putain mais explique moi, parce que je dois être vraiment con et aveugle, ce n’est pas possible. » . Il avait l’impression que tout ceci n’avait été qu’une mascarade, il ouvrait les yeux à présent sur celle qui avait été à ses cotés, mais qui ne semblait pas avoir partagé la même vision des choses. Il croyait rêver, au point qu’il avait lancé le téléphone contre le mur et les billets à son visage. « allez tiens, prends ça, et dégage. » . Il avait envie de tout casser, mais c’était son bar à présent, plus de cinq ans qu’il l’avait et il n’allait pas tout mettre en l’air pour une fille qui ne savait pas ce qu’elle voulait, ou du moins si, qui voyait l’intérêt de l’argent avant de voir les sentiments. « tu crois que c’est facile ? que j’ai le choix ? non, pas du tout. on me tient, mais je t’aime, tu dois le savoir. ». Voulait-elle réellement le toucher, l’avoir par les sentiments ? la jeune femme savait tout de son passé, de la mort de sa mère en raison de la drogue, et l’argent qu’elle avait en sa possession était loin d’être propre, il en était certain. « c’est fini, tu entends c’est fini. Tu as choisi ta priorité, j’en fais de même. » . Et de ce fait, il l’avait mise à la porte de son établissement et de son cœur. à présent, c’était ainsi, il n’était pas prêt à se poser, et être en couple, à moins de trouver la bonne.
- Lilie:
◗ prénom : Aurélie ◗ âge : 25 ans ◗ région : vers le milieu de la France ◗ comment as-tu connu le forum ? : par un membre. ◗ avatar : Ian Somerhalder. ◗ scénario ou personnage inventé ? : personnage inventé. ◗ commentaires : . - Code:
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<span class="taken">◗ </span><bt>IAN SOMERHALDER</bt><span class="bottin"> maxim c. davids</span>
Dernière édition par Maxim C. Davids le Lun 15 Sep - 16:56, édité 14 fois |
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